Je m’appelle Maryline. Je suis maman d’un garçon de 12 ans.
J’ai grandi à la campagne, entourée de grands espaces. J’ai passé des heures dehors, aux côtés de mes parents et grands parents.
Le jardinage, la cueillette, les promenades dans les bois, galoper dans les prés, le soin aux animaux, l’usage du feu ont rythmé mon enfance et sans le savoir, je nouais des liens avec cet espace de nature.
J’ai toujours fait le choix ensuite d’une vie adulte à peu près semblable, au vert.
Mes loisirs étaient, et sont toujours, orientés « grand air » : randonnée pédestre, VTT, escalade et plus récemment une expérience en parapente.
Je cultive ainsi une relation avec la nature. L’éprouver avec tous mes sens, la contempler, m’émerveiller et ne pas oublier de la remercier.
Sensible et attentive à ses bienfaits. Entre ressourcement, apaisement et stimulation.
Je ne me place ni devant, ni à côté mais bel et bien faisant partie de la Nature. Nous sommes tous des êtres de nature. En se reliant à elle, on se relie à soi et aux autres.
Avant de mettre en place mon activité tel que décrite sur ce site, j’ai œuvré dans le domaine du travail social.
17 années – à accompagner des publics variés, à domicile ou en institution, à croiser des regards différents – ont nourri ma curiosité sur l’exploration de la relation à soi, à l’autre.
Parallèlement, en 2012, je découvre la parentalité et toutes les questions inhérentes à ce processus, à cette nouvelle mission !
Les neurosciences affectives et sociales, l’intelligence émotionnelle, l’approche empathique de l’enfant et de l’adolescent, la parentalité positive: autant de notions que je vais découvrir et étudier longuement grâce aux travaux notamment d’Isabelle Filliozat, Catherine Gueguen et Marie Jeanne Trouchaud.
Mes lectures, mes recherches et bien sûr les évènements de la vie et ses rencontres m’amènent à (ré)orienter ma mission d’accompagnement, parentale et professionnelle.
J’ai toujours aimé être dehors et ce besoin de contact à la nature devient tellement fort au quotidien qu’il va me conduire à me professionnaliser dans ce domaine pour pouvoir accompagner et éduquer dehors.
J’ai besoin de liberté. Je me lance alors dans l’entrepreneuriat et je crée en octobre 2021 Branch’ée Nature.
Je questionne ma pratique professionnelle de façon permanente et je me forme régulièrement donnant ainsi à mon approche une couleur singulière, faite de liens entre mes différents outils et cultivant une présence d’être au monde.
Facilitatrice de liens au vivant pourrait être le nom de mon métier.
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